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Votre apogée par l’interdisciplinarité.

Chez Apogei, nous croyons en un entraînement cognitif personnalisé et efficace. Fondés sur des protocoles de neurofeedback de calibre international, nos services s’appuient sur la science pour générer des résultats concrets.

Nous allons plus loin que les autres en mobilisant une équipe interdisciplinaire. Cette approche offre des synergies d’entraînement uniques pour celles et ceux qui souhaitent repousser leurs limites.

Nous sommes également investis dans notre milieu : une partie de nos bénéfices et l’entièreté de vos dons est réinvestie dans la communauté.

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Des stratégies pour vos capacités mentales

Les Avantages d'Apogei pour votre Entraînement Cognitif

Apogei offre des protocoles d'entraînements cognitifs de calibre international, conçu pour offrir des stratégies sur vos capacités mentales. Notre approche interdisciplinaire offre un axe de soutien unique au Québec.

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Apogei vous soutient pour la performance, mais pas que...

Nous intervenons, sans s'y limiter, pour une variété de besoins comme l’anxiété, les troubles du sommeil, le déclin cognitif ou le TDAH.

Chaque protocole est conçu sur mesure, selon vos objectifs et les résultats de votre activité cérébrale. Cette personnalisation renforce les effets positifs sur la qualité de vie et le bien-être cognitif.

Une FAQ pas comme les autres

Cette FAQ explore l'entraînement cognitif sous un angle unique, en 4 niveaux progressifs.

Du fonctionnement de base aux stratégies avancées, chaque niveau éclaire un usage différent : bien-être, fonctionnement, performance et progression.

Chaque niveau débloque une nouvelle perspective. Les découvrir tous, c’est déjà changer la donne.

La plasticité cérébrale en action

1. Et si un cerveau performant pouvait évoluer grâce à la plasticité cérébrale et un entraînement cognitif personnalisé avec Apogei ?

La plasticité cérébrale ne s’arrête pas à la réparation : elle permet aussi l’optimisation. Apogei déploie ce potentiel via l'entraînement cognitif, autant pour aider que pour performer.

2. Combien d’énergie investissez-vous chaque jour pour fonctionner “normalement” avec un cerveau qui n’a peut-être jamais reçu de retour ciblé sur son propre état ?

Vous vous adaptez. Mais votre cerveau aussi peut s’adapter. Et souvent, il le fait bien plus efficacement qu’on le croit lorsqu’il reçoit le bon type de retour sur lui-même.

3. Pourquoi attendre que la fatigue mentale devienne insupportable pour agir… si elle est déjà visible ?

Le cerveau laisse des traces électriques claires. Certains déséquilibres se repèrent avant que vous les ressentiez. L’entraînement cognitif d’Apogei peut agir selon votre activité cérébrale.

4. Et si vous étiez moins distrait… non par discipline, mais parce que votre cerveau aurait appris à filtrer ce qui importe ?

La concentration n’est pas qu’une volonté. C’est un état cérébral précis, et souvent oublié. On peut le réapprendre avec un entraînement ciblé, non intrusif, progressif.

5. Vous dormez, mais votre cerveau reste en veille. Est-ce encore du repos, ou juste une pause de surface ?

Des cerveaux trop stimulés basculent moins bien vers les ondes lentes nécessaires au repos. Apogei peut favoriser cette transition, sans médication.

6. Et si l’anxiété était parfois le signal d’un cerveau piégé dans une boucle de vigilance mal régulée ?

Certaines fréquences cérébrales restent en alerte même quand tout va bien. L’entraînement cognitif aide à s'en sortir, non par pensée, mais par autorégulation.

7. Combien de parties de vous-même sont occupées à compenser… pour que tout tienne en place ?

Vous gérez, vous tenez. Mais à quel prix ? Le cerveau peut parfois retrouver un équilibre moins coûteux, s’il reçoit une aide pour le faire. Apogei peut vous aider.

8. Et si votre calme dépendait moins de vous, que de circuits cérébraux sous le feu du stress au quotidien ?

Certains cerveaux apprennent à rester en tension. On peut leur montrer une autre voie. Apogei ne force pas, il accentue ce que votre système est capable de faire.

9. Vous faites tout ce qu’il faut… mais ça résiste. Et si ce n’était pas vous le problème ?

Routines, sommeil, alimentation, parfois tout est en place, sauf le cerveau. Quand il reste bloqué sur de vieux schémas, l’entraînement peut relancer sa flexibilité.

10. Et si, dans un dizaine de séances, vous n’étiez pas une autre personne… mais vous même sans devoir lutter autant pour rester centré ?

Il ne s’agit pas de vous transformer, mais d’entraîner votre cerveau à ne plus vous freiner… et souvent, ce premier pas ouvre la voie à des états encore plus stables et durables.

Poursuivre l'entraînement, devenir stratégique

1. Et si un cerveau performant pouvait évoluer grâce à la plasticité cérébrale et un entraînement cognitif personnalisé avec Apogei ?

La plasticité cérébrale ne s’arrête pas à la réparation : elle permet aussi l’optimisation. Apogei déploi ce potentiel via son service d'entraînement cognitif, autant pour aider que pour performer.

2. Est-ce que les effets peuvent continuer d'évoluer avec le temps ?

Souvent, oui. Le cerveau est un système dynamique. Certains effets apparaissent tardivement, d'autres gagnent en stabilité au fil de l'entraînement. Ce que vous percevez comme « atteint » n'est parfois qu'un palier temporaire.

3. Comment savoir si j'ai fait le tour ou si je peux encore progresser ?

Vous n'avez pas besoin de "progresser". Mais vous pouvez choisir de continuer à ajuster votre système pour qu'il vous soutienne dans des contextes différents. Chaque protocole ouvre une couche nouvelle, plus fine, parfois plus stratégique. À un certain point, un des objectifs est de planifier dans le temps un peak de performance.

4. Est-ce que refaire un protocole, c'est recommencer ?

Non. C'est poursuivre sur une base améliorée. L'activité cérébrale évolue, les objectifs aussi. Un protocole 2 n'est pas une redite du 1, c'est une exploration adaptée à un système qui a commencé son entraînement.

5. Est-ce que les protocoles deviennent plus efficaces avec le temps ?

L'efficacité n'est pas une ligne droite. Mais un système déjà entraîné apprend parfois plus vite, ou intègre plus finement. Le travail devient plus ciblé, plus subtil. Vous n'êtes pas au départ à chaque fois : vous êtes en continuité.

6. Est-ce que ça vaut l'investissement de continuer ?

Oui, et pour de bonnes raisons. Entraîner son cerveau, c’est investir dans ce qui influence tout le reste : votre attention, vos émotions, votre clarté d’esprit, vos décisions. Avec le temps, les effets peuvent s'accumuler et transformer en profondeur votre quotidien.

C’est aussi pourquoi Apogei a mis en place les NeuroPoints : de multiple façons, vous accumulez des points qui peuvent donner accès à des rabais de plus en plus fréquents.

7. C'est quoi les NeuroPoints, exactement ?

Ce sont des points que vous accumulez à chaque visite, pour tous les services Apogei, mais aussi en recommandant Apogei et en collectionnant vos Badges. Plus vous avancez dans vos protocoles, plus chaque référence vous rapporte. C'est une manière d'encourager la continuité, sans pression.

8. Est-ce que les protocoles sont moins chers au fur et à mesure ?

Oui, en plus d'être moins cher que les autres dès le début. De plus, grâce à vos points, vos réductions peuvent arriver plus vite et plus souvent avec le temps. Apogei reconnaît votre parcours : les tarifs s'ajustent pour soutenir ceux qui choisissent la régularité et la profondeur.

9. Et si votre progression n’était pas linéaire… mais cumulative ?

Chaque protocole n’efface pas le précédent : il s’appuie dessus. Ce n’est pas un parcours à recommencer, mais une évolution qui s’approfondit. Le cerveau réagit différemment à mesure qu’il devient plus stable, plus disponible, plus stratégique.

10. Et si chaque nouveau protocole devenait une phase stratégique ?

Les premiers protocoles aident souvent à équilibrer les bases. Les suivants permettent d’aller plus loin : affiner les dynamiques qui comptent pour votre quotidien, renforcer ce qui soutient vos performances et préparer votre cerveau à s’adapter dans des contextes variés.

Population saine et performance

1. Est-ce que je peux améliorer mes performances cognitives même si je n'ai aucun problème ?

Oui. La majorité des gens opèrent en mode adapté, pas en mode optimal. Ce qu'on appelle "normal" est souvent une version compensée. L'entraînement cognitif n'est pas là seulement pour soigner, mais pour affiner.

2. Est-ce que mon cerveau peut apprendre à être plus clair, précis et constant ?

Oui. L'entraînement cognitif Apogei repose sur un principe simple : quand le cerveau reçoit une information précise sur son activité, il apprend à l'ajuster. La clarté mentale peut se renforcer.

3. Je me concentre déjà bien. Est-ce que je peux aller plus loin ?

C'est possible. Certaines personnes performantes maintiennent une concentration élevée, mais au prix d’un effort invisible. L’entraînement cognitif peut offrir une façon plus stable et moins exigeante d’y parvenir.

4. Est-ce que l'entraînement cognitif peut m'aider à récupérer plus vite ?

Oui. Un cerveau qui sait revenir rapidement à l'équilibre après une phase d'activation intense est un cerveau plus performant. L'entraînement ne vise pas seulement la performance brute, mais la variabilité adaptative.

5. Vais-je le ressentir dans mon quotidien ?

Majoritairement oui après un certain temps. Ce qui change n'est pas toujours visible de l'extérieur, mais tangible de l'intérieur : plus de fluidité, moins de décalage, une possible impression de disponibilité mentale sans tension. Vous pouvez fonctionner mieux, sans devoir le forcer.

6. L'entraînement cognitif améliore-t-il ma bonne hygiène de vie ?

L'alimentation, le sommeil, l'activité physique stabilisent. L'entraînement cognitif affine. Il permet de régler ce que même une bonne hygiène ne touche pas : les dynamiques internes du cerveau en temps réel.

7. Est-ce que c'est quantifiable, ou juste une sensation ?

Les deux. L'EEG quantitatif permet de mesurer l'évolution de votre activité cérébrale. Avec suffisamment d'entrainement, vous le sentez : certains parlent de calme présent, de pensées plus nettes, de meilleure tolérance à la pression, sans y avoir pensé consciemment.

8. Est-ce que c'est seulement pour les athlètes ou les gens en surmenage ?

Non. L'entraînement d'Apogei est fait pour tous ceux qui veulent que leur cerveau les soutienne mieux. C'est pour ceux qui ne veulent plus que leur efficacité dépende de leur état du jour, mais de leur système de base.

9. Et si j'allais déjà bien, mais que je ne savais pas que j'allais souvent à contre-courant de moi-même ?

C'est fréquent. Le cerveau apprend à compenser, mais cela a un coût. L'entraînement vise à restaurer un fonctionnement plus fluide, plus disponible, plus ajusté à vos capacités réelles.

10. Et si la meilleure version de moi-même était celle qui me demande moins d'effort ?

Ce n'est pas une promesse de transformation. C'est un espace pour entraîner le cerveau à ne plus vous ralentir. Vous restez vous-même, mais dans une version plus efficace, plus stable, plus stratégique.

Comment ça marche ?

1. Est-ce que mon cerveau peut vraiment s'entraîner comme un muscle ?

Oui, et ce n'est pas une métaphore : c'est un fait mesuré. Lorsqu'on donne au cerveau une information sur lui-même en temps réel, il apprend à moduler ses activités internes. C'est le principe de l'entraînement cognitif par neurofeedback : faire du cerveau un système adaptatif conscient de ses propres réglages.

2. Comment ça marche, concrètement, l'entraînement par neurofeedback ?

L'activité électrique du cerveau est mesurée en temps réel par un casque multi-électrodes. Les signaux sont traduits sous forme audio ou visuelle. Quand l'activité va dans la bonne direction, un renforcement positif se produit. Le cerveau s'ajuste, sans que vous ayez besoin de forcer ou de vous concentrer activement.

3. Est-ce qu'on peut vraiment voir les différences entre les cerveaux ?

Oui. L'EEG quantitatif (EEGq) compare votre activité à une base de données normatives. On identifie des zones de suractivation ou de désynchronisation. Ces cartes personnalisées permettent de cibler les zones à entraîner pour retrouver un fonctionnement plus cohérent, fluide et équilibré.

4. C'est quoi ces histoires de fréquences α, β, θ, etc. ?

Le cerveau produit des oscillations électriques liées à différents états : alpha pour le calme, bêta pour la vigilance, thêta pour l'introspection, etc. Le but n'est pas d'augmenter toutes les ondes, mais de restaurer un équilibre adaptatif entre ces fréquences, en fonction de vos besoins cognitifs.

5. Pourquoi choisir un casque à 19 électrodes plutôt que 2 ?

Un cerveau, ce n'est pas un interrupteur. Avec 19 électrodes, on capte l'activité de toutes les régions corticales. Cela permet un diagnostic plus précis, un entraînement plus ciblé et une progression plus durable.

6. Est-ce qu’on peut vraiment améliorer son cerveau sans médication ?
Oui. Le neurofeedback guide votre cerveau en temps réel pour renforcer ce qui fonctionne bien et réduire ce qui le freine — sans ajout de substance. C’est un entraînement ciblé, assisté par la technologie, qui mise sur votre potentiel naturel… amplifié.

7. Est-ce que je dois faire quelque chose pendant la séance ?

Non. Vous regardez un visuel ou écoutez un son. Quand votre cerveau adopte une activité ciblée, le système le renforce automatiquement. Vous restez dans un rôle réceptif, pendant que vos réseaux neuronaux s'affinent sans que vous ayez à vous concentrer activement. Vous laissez la science faire son travail.

8. Est-ce que c'est comme de la méditation guidée ou de la relaxation ?

Pas vraiment. Le neurofeedback agit directement sur les fondements électriques du cerveau, là où la méditation agit sur la conscience. Ce n'est pas un moment de détente, mais un entraînement structurel, ciblé et mesurable de vos réseaux fonctionnels.

9. Est-ce que tout le monde réagit de la même façon ?

Non. Comme pour l'entraînement physique, chaque cerveau a sa vitesse d'adaptation. Certains répondent vite, d'autres de manière progressive. Le protocole est adapté en continu, selon les réponses mesurées séance après séance.

10. Et si, au fond, votre cerveau attendait juste qu'on lui montre à faire mieux ?

Le cerveau veut être efficace, mais il manque parfois d'information sur lui-même. Apogei ne le force pas, il l'informe. Et souvent, un premier protocole ouvre la voie à un fonctionnement plus stable et soutenu, qu'on peut atteindre avec un entraînement prolongé.

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